Les Dires de Zeta: Nuage de Poussières Chargées
Écrit le 24 octobre 2003


Ici, sur la côte nord est des États Unis (New Jersey et Pennsylvanie) nous voyons sans arrêt apparaître [4 septembre] de petits nuages égarés très rouges (presque comme des néons) desquels est émise de la lumière. Pas d_’orage, pas de pluie. Ces nuages arrivent tout seul.
Signes des Temps #248
 
Ici en Norvège [10 octobre], le ciel entier s_’est soudain illuminé et tous les feux de signalisation routière se sont éteints l’_espace de 2 secondes. Une lumière vive suivie d_’une panne pourrait faire penser qu’_il ne s’_agissait que d_’un éclair, mais il n_’en était rien. Il n_’y avait eu ni orage ni autres éclairs de toute la journée. Le ciel entier s’_était illuminé et ne ressemblait en rien à un éclair.
Signes des temps #346
 
Le minerai de fer est configuré magnétiquement pour sortir de n_’importe quel milieu dans lequel il est libre de se mouvoir, et en fait de la sorte en particulier dans l’_espace. La Planète X, tel un énorme aimant, balaie [la Ceinture d_Astéroïde] et émerge à chaque fois avec un plus gros nuage de poussières. Nous avons mentionné que la queue s’_incurve vers la Terre, attirée par la gravité, le magnétisme et autres attracteurs. Le nuage proprement dit existe parce qu_’il y a une sorte de liant qui le maintient. Il y a plus que la gravité en jeu, c’_est une explication trop simpliste, et plus que le magnétisme bien que le minerai de fer soit certainement plus actif magnétiquement que la plupart des nuages de poussière.
Dires des Zêtas: Poussière Rouge, écrit le 11 janvier 2003

La poussière, dans l_’atmosphère terrestre, dérive jusqu_’à tomber sur Terre, parfois lentement selon son poids mais le processus ne varie pas, se précipitant souvent avec les orages lorsque de minuscules particules de poussière accrochent l_’humidité et provoquent le tombée de la pluie. Alors pourquoi, sur une planète marine telle que la Planète X, y a-t-il un nuage de poussière qui enveloppe en permanence cette planète? Le nuage de poussière, composé principalement de particules rouges de fer oxydé, est chargé, et les particules sont donc plus intéressées par une danse magnétique, entre particules, que par toute attraction gravitationnelle que le corps massif de la Planète X peut leur présenter. Le nuage se hérisse, résistant à la gravité comme les cheveux électrifiés après le brossage les jours d_’hiver sec, qui se dressent sur la tête et font des petits craquements. Que se passe-t-il quand cette poussière chargée approche la Terre et entre dans l’_atmosphère terrestre?

L_homme connaît bien le magnétisme et l’_électricité, et pense que ces deux phénomènes n_’en font qu_’un car un électroaimant engendre un champ magnétique à partir d_un flux d_’électrons. Il n_’y en a pas un seul, ni deux, mais des centaines et l_’homme n_’a que très peu imaginé l_’étendue du phénomène. Qu_’est-ce qui fait s_’incurver la queue de la Planète X vers la Terre avec l’_approche du passage? Ce n_’est pas avant tout que le vent solaire la souffle dans la direction de la Terre, car sa position et sa proximité aurait permis la chose depuis des semaines, voire des mois déjà. Ce n’_est certainement pas l’_attraction gravitationnelle de la Terre, toute petite en comparaison de la planète mère, la Planète X. De la même façon, l’_attraction magnétique de la Planète X commande largement à la Terre. La queue se trouve prise dans le flot de particules situé entre la Terre et la Planète X, montant en vague vers la Terre avec ce flot de particules, même si elle n_est pas observée depuis la Terre du fait de l’_obstruction par la poussière, puis elle retourne vers la Planète X à la périphérie.

Imaginez cette scène, la Planète X comme un énorme aimant arrivant au voisinage par le Sud, son pôle nord pointant vers le pôle sud de la Terre. Si les deux planètes s’_alignent sur le champ magnétique du Soleil, qui est statique en dépit de ce que raconte la NASA au sujet d_un décalage de ce champ lors des cycles d’_éruption solaire, l’_approche de la Planète X depuis le sud de l_’écliptique est tel que son pôle nord engage d’_abord le pôle sud de la Terre, dans le scénario. La Terre a réagi à cette approche en s_’élevant au dessus du Plan de l’_Écliptique, de sorte que le flux de particules magnétiques peut aller du pôle Nord de la Planète X au pôle sud de la Terre, selon l’_alignement préféré des aimants. Donc, comme les champs magnétiques se sont rejoints et reliés, le nuage de poussière rouge a maintenant une trajectoire à suivre. Quand la rotation ralentira jusqu_à l’_arrêt complet, ce sera parce que les planètes seront suffisamment près l’_une de l_’autre et que ce flux, du pôle nord au pôle sud, aura augmenté en intensité.

Le nuage de poussière se presse alors vers la Terre, depuis le sud, vrombissant au passage de la Terre pour coalescer au pôle nord et repartir à nouveau pour se rabattre au loin avec le flux de particules autour du pôle sud de la Planète X. L’_effet en est une précipitation massive de nuage de poussière rouge, avec le corps brillant de la Planète X que l’_on peut voir en son milieu, et qui semble vouloir engloutir la Terre. Cette poussière ne tombera de façon significative que lorsque l’_atmosphère terrestre sera retenue donc la résistance amoindrie, lors des jours de l_’arrêt de la rotation quand le flux de particules magnétiques créeront une force derrière ces particules chargées. Elles bombarderont alors la Terre en une espèce de tempête de sable.