Les Dires des Zetas: La Queue de la Comète


La queue de la comète géante ne rencontre pratiquement pas de résistance au cours de son voyage à travers l'espace. Elle se compose de débris que la comète a attiré à sa suite non seulement lors de sa formation, mais au cours de son périple, au cours duquel elle récolte les objets qui traînent dans l'espace grâce à son attraction gravitationnelle. La queue contient de la poussière, des gaz, des pierres, des rochers et des lunes, selon la taille et la composition de ce qui l'entoure en un point donné. Tout ceci est peu affecté dans l'espace, sur l'arc d'orbite étiré que parcourt la 12ème planète après son passage en trombe aux abords de la Terre pour retourner flotter dans l'obscurité du cosmos. Mais tout change quand la comète pénètre votre système solaire. Le vent solaire, ce bombardement de radiations dont votre oeil ne perçoit que la composante lumineuse, pousse la queue vers l'extérieur, du côté opposé au Soleil. Par conséquent la queue de la comète balaie la Terre - les poussières, les gaz, les pierres, les rochers, tout. Que se passe-t-il? Les lunes de la comète sont soumises à son étreinte, et ne s'approchent donc pas, mais tout le reste fait une attaque massive contre l'atmosphère de la Terre.

Les météores, ou étoiles filantes, ne sont pas inconnues du genre humain, qui peut les apercevoir la nuit s'il persévère à observer le ciel. Ces flammèches sont des météores embrasées, chauffées par le frottement et enflammées par la couche d'oxygène terrestre. Mais que ce passerait-il s'il n'y avait pas d'oxygène? Au cours du passage de la comète, il y a une telle attaque sur l'atmosphère de la Terre que par endroits tout l'oxygène disponible est complètement consumé. Les gaz chauds de la queue de la comète forment des composés pétrochimiques, qui brûlent au cours de leur chute dans l'atmosphère, et c'est un drap en flamme qui tombe sur la Terre. Cela fait plus que brûler toutes choses vivantes ici-bas - cela consume l'oxygène. Ce que l'auteur Velikovski a rapporté est que le Mastodonte a été trouvé gelé dans la toundra de Sibérie, de l'herbe entre les dents, gelé mais en parfait état de conservation, comme s'ils avaient juste arrêté de respirer. Ce fut le cas. Sans oxygène, la perte de conscience arrive vite. Quand tout l'oxygène disponible est consumé dans la haute atmosphère, toute météore tombant sur la Terre rencontre moins de résistance.

La queue de la comète est composée de matériaux plus légers vers son extrémité, étant donné que toutes les substances plus lourdes qui s'éloignent de l'influence gravitationnelle de la grosse comète sont entraînées vers d'autres directions, à un moment ou à un autre. Par conséquent les gaz et les poussières vont s'enrouler autour de la Terre et sont d'abord reconnaissables par une fine poussière couleur rouille, qui donne à l'eau un goût de sang amer. Cette poussière ne brûle-t-elle pas l'oxygène disponible pour finir comme toute autre étoile filante microscopique? Cette poussière ne brûle pas car elle est déjà oxydée. Lorsque la comète entame sa boucle descendante vers le Soleil, ce qu'on remarque ensuite est un fin gravier, pleuvant par endroit comme des grêlons. Pourquoi cela ne brûle-t-il pas, ce que font normalement les météores? Certains brûlent, mais leur nombre outrepasse les défenses de la Terre, et la majeure partie ne s'enflamme pas du tout. Durant cette période, la haute atmosphère de la Terre est arrachée vers l'extérieur, pour se disperser dans l'espace et c'en est fini du manteau douillet autour de la Terre. A l'occasion arrive maintenant un rocher, tombant sans résistance sur l'infortunée Terre, et encore l'atmosphère étant dispersée, les composés chimiques de la queue de la comète similaires à vos composés pétrochimiques, n'explosent pas pour se désagréger en eau et dioxyde de carbone, mais descendent près de la surface avant de s'enflammer. Un orage de feu, qui tue tout sur son passage.

Ceux qui voudraient échapper à la caresse mortelle de cette queue feront bien de prendre abri dans des grottes, dans des caves, des vallées ou sous des toits métalliques. Son passage est bref, une question de jours, et se termine soudainement.